Guy Le Helloco, Président de la Cidéral ne s'embarrasse pas d'humanité dans cette "affaire".
"Ce fut un investissement", même si, croit-il bon de le préciser, "le terme est choquant". Preuve qu'il n'y a pas de sa part de lapsus, mais une phrase bien pesée à l'aune de ce qu'est un salarié pour GLH.
Quand on repense à la pétition "sans pression ni arrière-pensée" née, paraît-il, à l'initiative de certains salariés de la Cidéral, pétition louant les qualités de ce même GLH, on croit rêver !
D'autre part, si ma mémoire est bonne, cette "affaire" ne devait rien coûter à la Cidéral d'un point de vue financier, GLH ayant pris l'engagement de payer de sa propre poche.
Les riverains de la rue des Platanes ayant déjà expérimenté la courtoisie de M. le Président de la Com-com ne seront surpris ni de ses méthodes, ni de ses commentaires particulièrement adaptés concluant des "affaires" dont il est l'instigateur et le premier responsable.
Il serait bon que les autres élus de la Cidéral montrent un peu le bout de leur nez : qui ne dit mot consent, et je ne suis pas certain que ce soit le cas pour tous !
Un sidéré de la Cidéral
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